Les béatitudes dans l' Apocalypse

 

 

 

 

LES 7 BEATITUDES 

              de                   L’APOCALYPSE

                   ou

        des flots d’amour

 

Introduction :

 

Quand on prononce le mot Apocalypse, on l’associe dans la pensée populaire aux catastrophes et aux malédictions. Cette compréhension est loin d’être en adéquation avec l’enseignement de ce livre. En fait, son principal objectif est de nous mettre en phase avec les derniers actes du ministère du Christ. C’est la raison pour laquelle, le mot apocalypse est avant tout, une révélation de Jésus-Christ (cf. Apocalypse 1 :1). Plus précisément, le mot αποκαλυΨις est un mot composé d’une préposition απο dont le sens premier est de manifester un éloignement par rapport à un point référent. Il nous indique  l’origine, le point de départ d’une chose. Puis vient le verbe  καλυπτω qui signifie  regarder sous le voile, découvrir. L’apocalypse est donc une invitation à partir à la découverte de quelque chose de caché, comme un trésor.

Dans ce trésor, nous allons apprécier la beauté de sept magnifiques perles étincelantes de beauté. En effet, à sept reprises, nous retrouvons dans le texte de Jean, la célèbre déclaration employée par Jésus dans son sermon sur la montagne de Galilée, au bord du Lac : «  Heureux ceux qui... ». La fin du Nouveau Testament réitére le célèbre μακαριος, traduit par heureux, bienheureux, ou en marche (cf. A. Chouraqui).

A l’opposé de ce qu’il faut craindre ou redouter, c’est vers quelque chose de bon et de beau que nous allons cheminer...

 

Développement :

 

1ère Béatitude :

 

« Heureux celui qui lit et ceux qui entendent les paroles de la prophétie, et qui gardent les choses qui y sont écrites ! Car le temps est proche » Apocalypse 1 : 3

Heureux le lisant à voix haute et les entendant... On est plongé de suite dans l’atmosphère spirituelle des premières communautés réunies dans les synagogues. Quelqu’un se levait et lisait à voix haute les rouleaux de la thora  pour que tous entendent (cf. ex.  Luc 4 : 17).

Le texte déclare heureux celui ou celle qui lit, c'est-à-dire qui participe activement à la proclamation de la Parole de Dieu. La prophétie n’est rien d’autre qu’une parole prononcée, inspirée par Dieu,  avant l’apparition de l’évènement. (Prophétie= προφήτέια ; προ : avant, devant. Φημί : dire, déclarer.)

Il faut un lisant, car ce qui a été mis en lettres (en grec γραμμα, dont le français a tiré le mot grammaire) par un scribe (γραμματευς) ne doit pas rester lettre morte, ou  simple document gisant  dans une bibliothèque. L’esprit de Dieu fait vivre la lettre.

L’apôtre Paul nous rappelle avec intérêt, que ce qui a été écrit, l’a été pour notre instruction  (cf. 1 Corinthiens 10 : 11). Si cette Parole a été soigneusement mise par écrit, n’est-ce pas pour que nous en prenions connaissance ? Ne vaut-elle pas la peine que nous lui consacrions quelques instants au milieu de toutes nos préoccupations ? La Bible fait partie du patrimoine culturel de notre humanité, à ce titre, ne devrions-nous pas nous informer ? Faire une démarche personnelle ? Nous qui d’ordinaire sommes curieux, voici un livre qui prédit l’avenir, ne devrait-il pas attiser notre envie de savoir ?

Plus profondément, il y a le fait d’avoir le désir de participer à la diffusion du message de Dieu. Cela est  déjà porteur de joie ...

Donc, il y a les entendant et les écoutant. Venir pour écouter la Parole, c’est rechercher à  être édifié. Mais le texte va plus loin. Venir, c’est bien, mais pour quoi faire ? Peut-on repartir comme on est venu ? Où est alors le bénéfice ?  D’où la nécessité de prendre bien en considération, le 3e verbe : garder. Le fait d’écouter et d’entendre engage notre responsabilité. Jean va insister sur l’importance d’être bien attentif à ce que Dieu a dit. A maintes reprises, le fait sera souligné à grands traits. C’est un message qui interpelle les croyants de tous bords, même si, précisément, il s’adresse aux Eglises  (cf. Apocalypse 2 : 1,7,11, 17,29 ; 3 : 6,13,21 etc...). Mais l’objectif d’une bonne écoute est l’intégration concrète du message entendu. Le verbe grec τηρεω sous-tend l’idée de garder pour mettre en pratique (cf. Jean 14 :15). Rien ne remplacera le bénéfice d’une saine application pratique au quotidien dans nos parcours de vie ! (cf. Jacques 1 : 22,23 ; Jean 5 : 24 ; 8 : 31)

N’oublions  pas que « la parole de Dieu est vivante et efficace » Hébreux 4 : 12

En dernier, il y a la mention : « car le temps est proche. » La conjonction de coordination grecque (γαρ) est importante, car elle définit la cause. Autrement dit, c’est la proximité d’une échéance qui justifie l’attention qu’il convient de porter. Cette échéance s’inscrit  dans la marche générale de l’histoire de notre humanité. Si Dieu est maître du temps, il en  maîtrise aussi le terme... Cette échéance peut être individuelle car personne ne connaît le moment précis de sa mort. Donc, pendant que nous en avons l’occasion, saisissons toutes les opportunités que Dieu  nous accorde, pour nous positionner dans une relation vraie et profonde avec Lui. Si cette béatitude est en introduction du livre, c’est parce qu’elle fournit les éléments fondateurs de toute relation à Dieu, par Jésus-Christ.

 

2ème Béatitude :

 

« Heureux dès à présent les morts qui meurent dans le Seigneur ! Oui, dit l’Esprit, afin qu’ils se reposent  de leurs travaux, car leurs œuvres les suivent » Apocalypse 14 :13

On retrouve curieusement l’élément important de la première béatitude : la notion de temps. Et le contexte immédiat vient nous remettre en mémoire les notions de garder et de mettre en pratique. Le verbe τηρεω est de nouveau là. (cf.v.12)

Autrement dit, sont déclarés heureux, ceux qui se sont endormis dans le Seigneur. Etre dans le Seigneur suppose avoir eu à cœur de garder les commandements de Dieu, et mit sa foi en Jésus  (cf.v.12). Nous sommes aux antipodes d’une démarche légaliste !

Tous ceux et celles, qui ont eu cette relation profonde avec Dieu, ont regardé la mort avec sérénité.  La raison en est donnée dans le texte : « leurs œuvres les suivent. » La mort est comme une lampe qui s’éteint quand le jour arrive. Ce n’est qu’un passage vers une autre relation. Pourquoi sont-ils déclarés heureux ? Pour deux raisons : la première est qu’ils entrent dans le repos. En grec litt. «  Pour qu’ils se reposent ». Finis l’agitation, les tensions, les combats. On entre dans la paix et la tranquillité. Jésus parlera du sommeil de la mort (cf. Jean 11 : 11-14). La deuxième raison est que le bilan de notre vie nous accompagne (il est enregistré dans le disque dur de Dieu). Dans le contexte de la résurrection, Paul écrit : 

« Ainsi, mes frères bien-aimés, soyez fermes, inébranlables, travaillant de mieux en mieux à l’œuvre du Seigneur, sachant que votre travail ne sera pas vain dans le Seigneur. » 1 Corinthiens 15 : 58. Jésus a déclaré : « le Fils de l’homme doit venir dans la gloire de son Père, avec ses anges ; et alors il rendra à chacun selon ses œuvres » Matthieu 17 : 27. Précisons toutefois que nous ne serons pas sauvés par nos mérites ou notre obéissance, mais par l’état d’esprit qui nous aura animés nos actions. (cf. Galates 2 :16 ; 6 :3-10)

 

3ème Béatitude :

 

 « Heureux celui qui veille, et qui garde ses vêtements, afin qu’il ne marche pas nu et qu’on ne voie pas sa honte ! » Apocalypse 16 : 15

Le contexte immédiat de cette béatitude nous permet de mieux comprendre sa signification. Il s’agit de la seconde venue du Christ : « Voici, je viens comme un voleur » Idem v.15 (Comparer avec Matthieu 24 : 42-44 ; Luc 12 : 39 ; 1 Thessaloniciens 5 : 1-4). Sa venue met un terme au dernier grand conflit symbolisé par un lieu célèbre : Harmaguédon. (La bataille d’ Harmaguédon est décrite plus loin au chapitre 19). Harmaguédon : note de la Nouvelle Bible Segond, p. 1684. « Montagne (cf. Es.14 :13) de Meguiddo, ville située près du mont carmel et qui a été le théâtre de sanglantes batailles... » En fait, Harmaguédon est symboliquement le dernier conflit au sommet. Il opposera les forces du bien à celles du mal, Dieu à Satan. Que cela ait des retombées sur notre monde paraît inévitable.

C’est donc, en regard de cette atmosphère de lutte et de combat, que chacun de nous est invité à la plus grande vigilance. Ce combat n’avait-il pas déjà commencé en Eden lorsque nos premiers parents découvrirent qu’ils étaient nus (conséquence de leur désobéissance à Dieu) ? Jésus, à la fin de son ministère, a mis l’accent sur ce dernier grand enjeu.

« Prenez garde à vous-mêmes, de crainte que vos cœurs ne s’appesantissent par les excès du manger et du boire, et par les soucis de la vie, et que ce jour ne vienne sur vous à l’improviste ; car il viendra comme un filet sur tous ceux qui habitent sur la surface de la terre. Veillez donc et priez en tout temps, afin que vous ayez la force d’échapper à toutes ces choses qui arriveront, et de paraître debout devant le Fils de l’homme » Luc 21 : 34-36.

Veiller ou garder ses vêtements, c’est préserver son identité spirituelle. Ne pas perdre son âme. Faire le tri entre le futile et l’indispensable pour notre devenir. Mettre sa foi dans des valeurs impérissables. La nudité dans la Genèse fait référence à l’expérience de la rupture de relation avec Dieu. Etre nu, c’est symboliquement, avoir perdu tout contact, être seul, donc vulnérable et sans protection aucune. Marchons donc avec et non sans vêtements de la justice gratuite de Dieu.  

 

4ème Béatitude :

 

 « Heureux ceux qui sont appelés au festin des noces de l’agneau ! Puis il me dit : ces paroles sont les véritables paroles de Dieu » Apocalypse 19 : 9.

L’apôtre Jean est saisi dans ce chapitre 19, par la joie de voir et d’entendre : Il est question d’un jugement qui s’achève (cf.v.1, 3, 4) et de la proclamation du règne de Dieu. (cf. v.6)

Au milieu de toutes ces réjouissances, on annonce les noces de l’Agneau avec sa femme (γυνη) souvent traduit : épouse. Elle s’est préparée et parée de beaux habits. Pourquoi l’agneau ? Parce que cet animal était au cœur de tout sacrifice de substitution de peine dans l’Ancien Testament. Il préfigurait le sacrifice de Jésus-Christ, l’Agneau de Dieu qui ôte les péchés du monde (cf. Jean 1 :29 ; 1 Pierre 1 :19). Ainsi s’explique le sens mystique de ce mariage entre Dieu et son peuple, entre Christ et l’Eglise (Ephésiens 5 : 22-33), entre Dieu et Jérusalem (Un peu plus loin dans l’apocalypse, au chapitre 21 :2,9, l’épouse = Jérusalem). La photo de cette noce est là pour nous faire comprendre que tous ceux et celles, qui ont accepté l’appel de Dieu avec sincérité, seront invités aux festivités de ce mariage. Ils en feront partie (cf. parabole du festin des noces du roi, Matthieu 22 : 1-14 ; parabole des 10 vierges, Matthieu 25 :1-13).

En fait, dans l’original grec, il est question de personnes ayant reçu un appel (le verbe καλεω est au parfait, il s’agit bien de ceux qui ont été appelés). Il est important de dire à cet endroit que : tous sont appelés, sans exception, mais que seuls ceux qui répondent à l’appel de Dieu seront invités. Dieu a pour projet de toujours respecter notre libre arbitre. Nos choix nous engagent.

 

5ème Béatitude :

 

 « Heureux et saints ceux qui ont part à la première résurrection ! La seconde mort n’a point de pouvoir sur eux ; mais ils seront sacrificateurs de Dieu et de Christ, et ils régneront pendant mille ans. » Apocalypse 20 : 6.

Jean voit  les scènes du plan de Dieu défiler devant lui, et le contexte de cette béatitude nous présente un ange détenant une clé et une grande chaîne. Il est chargé de mettre hors d’état de nuire Satan, le diable, l’auteur de la division entre Dieu et ses créatures. Il l’enchaîne et le jette dans l’abîme, véritable prison dont la porte est refermée. (cf. v. 1-3) On nous dit qu’il restera enfermé 1000 ans. Après quoi, Jean voit une scène de jugement avec des trônes, et les élus revenir à la vie pour être appelés à régner avec Christ pendant 1000 ans. On nous dit que les autres morts (les non-élus) ne reviennent pas à la vie pendant ces 1000 ans. Cela paraît bien compliqué, mais en fait le texte présente un enchaînement simple. Ce dernier fait mention de deux résurrections : la première concerne les élus, ceux qui ont adhéré au plan de Dieu. La deuxième, après une période dite de 1000 ans, concerne les non élus, c'est-à-dire ceux et celles qui ont refusé la souveraineté de Dieu. Et s’il y a deux résurrections, il y a aussi  pour la deuxième catégorie de personnes une deuxième mort après le jugement dernier.

Voilà pourquoi l’apôtre déclare heureux et saints, les élus  qui ont part à la première résurrection. Ils seront en la présence de Dieu et du Christ pour toujours.

De plus, ils auront l’honneur de porter la responsabilité de sacrificateur ou de prêtre, tout en étant associés au règne de Dieu et du Christ. Ces 1000 ans symboliques ou réels, peu importe, correspondent au temps du jugement dernier. (cf. v. 7-15)

Peut-être pouvons-nous rappeler à cet endroit la parole énigmatique en son temps de l’apôtre Paul : « Ne savez-vous pas que les saints jugeront le monde ?... Ne savez-vous pas que nous jugerons les anges ? » 1 Corinthiens 6 : 2, 3.

Il est plausible de penser que Dieu et le Christ ont voulu éradiquer d’une façon définitive tout doute, quant au bien-fondé de leur justice. Ce qui s’est passé en Eden ne doit plus se reproduire. Et pour recréer les conditions d’une relation d’amour éternel, les élus seront appelés à participer au jugement de ceux qui ont fait le choix de rejeter Dieu. Ainsi, les élus pourront constater que Dieu, le Christ, et le Saint-Esprit, ont tout fait pour le salut de chaque individu. Le doute ne sera plus possible. La confiance totale ainsi retrouvée, sera le ciment d’une alliance éternelle entre Dieu et ses créatures. Faire partie de la première résurrection, c’est entrer dans le plan d’amour de Dieu, et vouloir le vivre pour l’éternité. C’est éviter la seconde mort qui symbolise  le retour au néant (ne plus être pour toujours). C’est entrer dans la Vie pleine, non limitée, à jamais, à perpétuité. Voilà le vrai développement durable de l’aventure de la foi.

 

6ème Béatitude :

 

« Heureux ceux qui gardent les paroles de la prophétie de ce livre ! » Apocalypse 22 :7. L’apôtre Jean a tellement été marqué par l’importance de ce qu’il a reçu de Dieu, qu’il aborde la fin de son livre par cette recommandation. Il a tellement été saisi par tout ce qu’il a vu et entendu, qu’il réutilise le verbe τηρεω (garder) de la première béatitude.

Cela nous rappelle la circonstance au cours de laquelle une femme interrompit le discours de Jésus, en lançant la phrase célèbre : « Heureux le sein qui t’a porté ! Heureuse les mamelles qui t’ont allaité ! » Et Jésus de répondre : «  Heureux plutôt ceux qui écoutent la parole de Dieu, et qui la garde. » Luc 11 :28.  Dans l’original, Jésus est même plus précis. Le verbe grec φυλασσω a le sens de garder en observant, en mettant en pratique  (cf. Marc 10 : 20).

Il s’agit donc bien d’une garde active ! D’une garde qui sans cesse rend présent à notre mémoire les évènements décrits dans ce livre. Evénements qui prédisent le triomphe définitif de Dieu sur le mal et la mort (cf. Apocalypse 21 : 1-7). Si Dieu prend soin de nous prévenir, n’est-ce pas pour que nous prenions attention à ses paroles ? Garder, c’est faire vivre, c’est maintenir en mouvement quelque chose de précieux pour soi et pour les autres. Garder est aussi un principe de fidélité. Or, être fidèle à Dieu, c’est aussi être fidèle à sa Parole. Et cela est d’autant plus important, que le Seigneur déclare, juste avant la béatitude, « je viens bientôt » v.6. La première béatitude nous invitait à lire, entendre et garder les paroles de ce livre prophétique... Juste avant de conclure, Jean procède à une piqure de rappel en insistant sur la garde avec toute la cohérence de comportement qu’elle induit.   

 

7ème Béatitude :

 

« Heureux ceux qui lavent leurs robes, afin d’avoir droit à l’arbre de vie, et d’entrer par les portes dans la ville ! » Apocalypse 22 : 14. Ou dans d’autres écrits : « Heureux ceux qui accomplissent ses commandements. » Qu’importe la différence des manuscrits, les deux possibilités se complètent.

            

-  Laver sa robe a un sens symbolique déjà utilisé dans ce livre. La multitude des rachetés de l’Eternel est revêtue de robes blanches. Ces rachetés « ont lavé leurs robes, et ils les ont blanchies dans le sang de l’agneau » (cf. Apocalypse 7 : 9, 13,14 // Esaïe 1 : 18)

Dans le langage biblique, cela signifie que leurs péchés ont été pardonnés et effacés (cf. Romains 3 : 23-26, 6 : 23 ; 1 Jean 2 : 12 ; Actes 3 : 19).  Ils peuvent désormais être membres à part entière du royaume de Dieu. Par la foi, la condamnation qui pesait sur eux a été reportée sur le Christ (cf. 2 Timothée 1 : 10). La foi dans l’acceptation de cette substitution de peine, donne le droit de participer à toutes les réjouissances célestes. Il suffit de prendre conscience de son véritable état, et d’avoir foi en la puissance de la grâce de Dieu. De même, la présence de l’arbre de vie peut être le rappel de l’arbre de la connaissance du bien et du mal en Eden.  

 

-  Accomplir ses commandements, c’est adhérer au projet de Dieu ; c’est entrer dans une relation de confiance et de partage ; c’est dire simplement notre amour pour Dieu.

    

Conclusion :

 

Nous sommes partis à la découverte d’un trésor, et nous avons trouvé 7 belles perles. Chacune nous redit tout l’amour que Dieu nous a porté, et nous porte encore aujourd’hui. A nous de savoir ce que nous voulons en faire... Si nous sommes insatisfaits de ce que nous vivons, et de ce que le monde nous propose, alors notre soif d’absolu dans l’amour, la paix et la joie, pourra être pleinement étanchée par la foi en Jésus-Christ, notre Sauveur.  

                                                                                                      

                                                                                     Jacques Eychenne

                                   

                                                                                                       

     

 

 

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