L' Arche de l' alliance

 

 

L’arche

de l’alliance

        Ou

 Un projet de vie

Exode 25 :10-22


Introduction :


La sortie d’Egypte a été un événement référent, dans la relation de Dieu avec le peuple d’Israël. Au-delà de l’aspect purement historique, signifiant le passage de l’esclavage à la liberté, cette traversée de la mer rouge, à sec, avait pour objectif de renouer une relation durable. Pour matérialiser ce nouvel élan de confiance, « l’Eternel parla à Moïse et dit : Parle aux enfants d’Israël. Qu’ils m’apportent une offrande ; vous la recevrez pour moi de tout homme qui la fera de bon cœur. » Exode 25 :1 (c’est nous qui soulignons)


Le but de cette collecte était de rassembler les matériaux nécessaires à la construction d’un sanctuaire. Dieu signifiait ainsi son désir d’être « physiquement » présent au milieu de son peuple. (cf. « Ils me feront un sanctuaire, et j’habiterai au milieu d’eux ». Exode 25 :9) Ce sanctuaire était une véritable maquette du projet de Dieu. Il avait pour finalité de faire comprendre tout ce qui se rattachait à un salut présent et à venir. Très vite les responsables ont compris la valeur symbolique de tout ce dispositif. Dieu, comme un bon architecte, donna toutes les instructions. Il illustra même les détails en révélant à Moïse (certainement en vision) les particularités du modèle à imiter. (cf. Exode 25 :9,40). Parmi tous les éléments à construire, le premier à être décrit est l’arche de l’alliance. Ce meuble était considéré comme le plus important de tous. Il avait d’ailleurs une place spéciale. Il devait être placé dans la dernière pièce de ce sanctuaire, appelé lieu très saint. (cf. Exode 26 :33-34).

Si donc cette arche de l’alliance, appelée encore, l’arche du témoignage (cf. Exode 25 :21), a eu une telle importance dans la mise en place du dispositif du sanctuaire, essayons d’en dégager les aspects symboliques. Cela peut être profitable à notre compréhension du projet de Dieu pour notre humanité.


Développement :


Rappelons, avant d’explorer tous les détails de ce meuble, que ce coffre sacré a accompagné le peuple d’Israël durant toute la période de son exode, jusqu’à la conquête et l’entrée dans le pays de Canaan. Elle est encore mentionnée en 586 après la chute de Jérusalem et la déportation du peuple à Babylone, puis on la perd de vue. Jérémie rapporte les paroles de l’Eternel : «  En ces jours -là, dit l'Éternel, On ne parlera plus de l'arche de l'alliance de l'Éternel; Elle ne viendra plus à la pensée; On ne se la rappellera plus, on ne s'apercevra plus de son absence, Et l'on n'en fera point une autre » Jérémie 3:16.Cet antique mobilier, depuis sa disparition dans des circonstances indéfinies, a suscité de tout temps, des recherches passionnées. Cela mérite donc, de notre part, une attention particulière.

L’arche. Définissons tout d’ abord le mot hébreu : Dans Exode 25 :15

אֲרוֹן 'arown ou אֲרֹן 'aron : différentes traductions suivant contexte : 1) coffre, arche 1a) coffre pour monnaie 1b) Arche de l'alliance 2) cercueil.

(Il faut se rappeler que dans l’antiquité le mobilier le plus employé était le coffre. Tout ce qui était précieux et transportable était mis dans un coffre. D’ailleurs l’origine du mot a le sens de recueillir).

 

Les dimensions de l’arche :


Longueur= 2 coudées et demie ; largeur= une coudée et demie ; hauteur= Une coudée et demie (cf. Exode 25 : 10) Il est difficile de savoir exactement à quoi correspondait la coudée hébraïque. On sait qu’il y avait deux mesures (comme chez les peuples de la région) : une ordinaire (cf. Deutéronome 3 :11 ; 2 Chroniques 3 :3) et une royale (cf. Ezéchiel 40 :5 ; 43 :13). Chez les Babyloniens la première était de 44 cm et 52 pour la deuxième. En Egypte 45cm et 52 cm. Très certainement la coudée ordinaire devait être de 45 cm et de 52 cm environ pour la royale. Ce qui nous donnerait :

Longueur 1,30m ; largeur 0,78m ; hauteur 0,78m. (D’autres parlent de 1,15m x 0,70m x 0,70m)


Cette arche comprenait deux parties :


Le coffre et son couvercle, appelé, propitiatoire. Tout le meuble était recouvert d’or (intérieur et extérieur). Sur les côtés, quatre anneaux d’or permettaient de passer deux barres d’acacia recouvertes d’or. L’arche était de ce fait transportable.

Le propitiatoire (couvercle) ( כַּפֹּרֶת kapporeth = siège de miséricorde, lieu de l'expiation, propitiatoire)avait la particularité d’avoir, aux deux extrémités, un chérubin en or massif. (כְּרוּב keruwb 1) chérubin, chérubins 1a) un être angélique 1a1) gardiens d’Eden, exode 3 :4 1a2) présents au trône de Dieu 1a3) image au-dessus de l'Arche de l'Alliance 1a4) le char de l'Éternel (fig.)

 

Chaque chérubin étendait ses ailes sur le couvercle, leur visage se faisait face et s’inclinait vers le propitiatoire, c’est-à-dire, vers le bas. (cf. Exode 25 : 18-20). Cette œuvre d’art a été réalisée par Betsaleel et Oholiab (cf. Exode 35 :30-34 ; 36 :1) Le couvercle et les anges en or battu faisaient corps. Ils ont été fondus ensemble (véritable prouesse technique !). L’arche devait peser plus de 100 kg. Il fallait quatre hommes pour la porter. Au temps de David, seuls les chefs de famille des Lévites pouvaient accomplir cette tâche (cf. 1Chroniques 15 :12) l’arche était portée sur l’épaule comme Moïse l’avait indiqué (cf. 1 Chroniques 15 :15 ; Deutéronome 31 :9).

 

L’arche contenait 3 objets :

1) une urne d’or contenant de la manne,

2) le bâton d’Aaron qui avait fleuri,

3) les tablettes de l’alliance

(cf. Hébreux 9 :4 ; Exode 16 :32-33, Nombres 17 :8-10 ; Deutéronome 10 : 1-5).

 

Pourquoi ce meuble était si important ?

 

Parce qu’il était dans la dernière pièce du sanctuaire, ou lieu très saint. C’est là que Dieu se proposait de rencontrer Moïse afin de lui donner toutes ses instructions (cf. Exode 25 :22). Le sanctuaire avait trois parties bien distinctes : 1) le parvis 2) le lieu saint 3) le lieu très saint (tout était démontable). Quand le peuple se déplaçait, il remontait le sanctuaire et organisait la disposition des tribus d’Israël tout autour sur les quatre côtés (3 tribus bien rangées par côté, suivant un ordre précis, cf. Nombres 2).


Pourquoi 3 parties ?

 

Elles symbolisaient les trois degrés de relation entre l’homme-pécheur et son Dieu. Le sanctuaire ne comprenait qu’une seule entrée. Le pécheur qui voulait accomplir les rites de purification devait la franchir, accompagné d’un agneau (le plus souvent) pour le sacrifice d’expiation. « C’est par la vie que le sang fait l’expiation » Lévitique 17 :11 (expiation=כָּפַר kaphar, sens de couvrir, purger, faire une expiation, réconciliation, recouvrir de…)

 

Il immolait lui-même l’animal après avoir confessé publiquement ses péchés en imposant une main sur la tête de l’animal. Cette action, dans cette première partie du sanctuaire, symbolisait la réconciliation du pécheur avec son Dieu (cf. réconciliation par l’expiation).

Dans la deuxième partie, seuls les sacrificateurs pouvaient entrer (cf. Hébreux 9 :6). Ils transféraient symboliquement les péchés par le sang de l’animal dans le lieu saint. Une aspersion de ce sang exprimait le désir de se repositionner dans une attitude d’adoration. Cette aspersion se faisait, entre autres, devant le voile qui séparait le lieu saint du lieu très saint, là où Dieu se manifestait.

Dans la dernière partie, seuls Moïse et Aaron, et par la suite les Souverains Sacrificateurs pouvaient y entrer (cf. Hébreux 9 :7). Ils se trouvaient là dans la présence directe de Dieu. Après la mort de Moïse et d’Aaron, seuls les Souverains Sacrificateurs pouvaient y avoir accès, une fois l’an, au jour du grand pardon, ou jour des expiations (cf. Yom Kippour. Ce jour-là, le Souverain Sacrificateur aspergeait 7 fois, le propitiatoire par le sang, symbolisant la réconciliation de Dieu avec son peuple). Le peuple devait s’humiliait et se repentir (cf. Lévitique 23 : 26-32). Dieu apparaissait dans une nuée sur le propitiatoire (cf. Lévitique 16 :2)

En résumé, ces 3 parties du sanctuaire (parvis, lieu saint, lieu très saint) avaient pour vocation de faire comprendre comment revenir vers l’Eternel. Cela sous-tendait les enseignements suivants :


La réconciliation par l’expiation, la démarche d’adoration et de reconnaissance de la souveraineté de Dieu, la communion directe et personnelle.


Telles étaient les étapes à respecter par le chef de famille qui répondait aux appels de Dieu. (cf. 2 Chroniques 30 :6,9 ; Jérémie 3 :14 ; Ezéchiel 14 :6,18 :30,33 :11 ; Joël 2 :12,13 ; Zacharie 1 :3 ;Malachie 3 :7 )

L’arche, se trouvant dans le lieu très saint, était donc considérée, à juste titre, comme le mobilier le plus sacré. Rappel : C’est au-dessus des deux anges que Dieu se manifestait (cf. Exode 25 :22 ; Lévitique 16 :2). Tous ces éléments concrets et matériels avaient pour objectif de faire comprendre au peuple, le projet d’amour de Dieu pour son peuple. Cette matérialisation s’explique par le fait que les hébreux ne maniaient pas l’abstrait. Il fallait illustrer. Ainsi, se percevait la signification du projet de Dieu. Jésus imitera ce processus en illustrant ses propos par des paraboles. Elles utilisaient des images familières du quotidien de ses auditeurs. (Aujourd’hui nous manions aisément les notions abstraites, tel n’était pas le cas en ces temps-là.)

 

Symbolisme du sanctuaire :

 

Le sanctuaire terrestre était le symbole de la présence de Dieu. Il annonçait le projet d’un salut concret en Jésus-Christ (Lire Hébreux 10 : 14) la seule entrée du sanctuaire annonçait le salut par un seul : Jésus-Christ (cf. Actes 4 :12) Elle indiquait qu’il n’y aurait qu’un seul et unique intermédiaire (cf. 1 Timothée 2 :4-5 ; Hébreux 8 :6, 9 :15 ; 12 :24) entre Dieu et les hommes : Jésus-Christ, à la fois notre Souverain-Sacrificateur (cf. Hébreux 9 :11-14) et l’ agneau qui ôte le péché du monde (cf. Jean 1 :29). (Disons bien fraternellement et dans le respect de compréhensions différentes, que tous ceux et celles qui utilisent d’autres intermédiaires pour s’adresser à Dieu le Père, non seulement font fausse route, mais ils portent atteinte à la souveraineté de Christ, d’ après l’enseignement des Saintes Ecritures)

Symbolisme de l’arche de l’alliance entre Dieu et notre humanité :


1)   L’urne d’or contenant de la manne : (cf. Exode 16 :31מָן manne = le pain du ciel qui a nourri les Israélites pendant 40 ans au désert. veut dire : qu'est-ce que cela ?)

Nombres 11:7,8« La manne ressemblait à de la graine de coriandre, et avait l’apparence du bdellium. Le peuple se dispersait pour la ramasser; il la broyait avec des meules, ou la pilait dans un mortier; il la cuisait au pot, et en faisait des gâteaux. Elle avait le goût d’un gâteau à l’huile. »

Exode 16:14,15 « Quand cette rosée fut dissipée, il y avait à la surface du désert quelque chose de menu comme des grains, quelque chose de menu comme la gelée blanche sur la terre. Les enfants d’Israël regardèrent et ils se dirent l’un à l’autre: Qu’est-ce que cela? Car ils ne savaient pas ce que c’était. Moïse leur dit: C’est le pain que L’Éternel vous donne pour nourriture. »

 

La présence de la manne dans un milieu hostile devait sensibiliser le peuple à la bienveillance de Dieu. Il se révélait comme le Père nourricier (Celui qui répond aux besoins essentiels de la vie). Les hébreux devaient comprendre qu’ils n’avaient aucune crainte à avoir de l’avenir. Dieu pourvoirait. Il désirait simplement qu’on lui fasse confiance.

Mais le projet pédagogique de Dieu allait plus loin :

Quel était l’enseignement caché ?

-      Il devait graver dans la mémoire collective la bonté de Dieu.

-      Il avait valeur de test de fidélité.

-      Il invitait à découvrir le sens profond de la véritable nourriture.


« Souviens-toi de tout le chemin que l’Eternel, ton Dieu, t’a fait faire pendant ces quarante années dans le désert. Il t’a humilié, il t’a fait souffrir de la faim, et il t’a nourri de la manne, que tu ne connaissais pas et que n’avaient pas connue tes pères, afin de t’apprendre que l’homme ne vit pas de pain seulement, mais que l’homme vit de tout ce qui sort de la bouche de l’Éternel ». Deutéronome 8 :2-3 « (il) t’a fait manger dans le désert la manne inconnue à tes pères, afin de t’humilier et de t’éprouver, pour te faire ensuite du bien. » Deutéronome 8 :16

 

Mais le projet de Dieu avait aussi pour objectif d’attirer notre attention sur une nourriture qui prolonge la vie éternellement. Il nous l’a offerte en Jésus-Christ. C’est pourquoi le Seigneur Jésus a déclaré :

« Je suis le pain de vie… Je suis le pain vivant… commele Père qui est vivant m’a envoyé, et que je vis par le Père, ainsi celui qui me mange vivra par moi. C’est ici le pain qui est descendu du ciel. Il n’en est pas comme de vos pères qui ont mangé la manne et qui sont morts : Celui qui mange ce pain vivra éternellement… Les paroles que je vous ai dites sont Esprit et vie. » Jean 6 : 48, 51,57-58,63


2)   Le bâton d’Aaron qui avait fleuri : (cf. Nombres 17 :1-13)

 

Le bâton symbolisait l’autorité. Chaque chef de tribu en avait un (cf. Nombres 17 : 1-4,10)

Le bâton fleuri matérialisait le choix de Dieu. (cf. Nombres 17 : 5) La sacrificature d’Aaron avait été contestée par Koré (cf. Nombres 16 :8-11) ; Dieu devait la confirmer. Cela nous renvoie par extension à la sacrificature du Christ, contestée elle aussi par les responsables d’alors, mais approuvée de Dieu (cf. Nombres 16 :20-33)

Ce bâton se distinguait par la pousse de boutons, la présence de fleurs et la concrétisation de fruits (amandes) mûrs. Ces trois étapes naturelles (bourgeon-fleur-fruit) symbolisent le projet de Dieu dans la vie de tout être humain. Il peut aussi être mis en relation avec le merveilleux processus de la conversion spirituelle.

 

3)   Les tablettes de l’alliance, ou tables de la loi, ou les dix commandements : (cf. Exode 31 :18)


Ces deux tables de pierre, appelées tables du témoignage, ont été écrites par Dieu lui-même sans intermédiaire humain. C’est un cas unique dans la révélation écrite. Cette démonstration traduit toute l’expression de la volonté divine. Ces tablettes de pierre étaient écrites chacune recto-verso (cf. Exode 32 : 15) (Ces deux tablettes, brisées par Moïse devant l’infidélité du peuple (cf. Exode32 : 19), furent retaillées dans la pierre par Moïse, et réécrites par Dieu dans sa bonté (cf. Exode 34 : 1-9).

Pourquoi ces deux tablettes étaient si importantes ?

Dieu avait pour projet de créer les conditions d’une relation d’amour. Il proposa à l’homme une route sécurisée (// Principe de précaution). Les 10 commandements sont, comme dans le code de la route, des panneaux indicateurs (sens obligatoire, interdit, prévention de danger). Le but est de nous faire voyager sur une route sécurisée. A nous de tenir compte de la signalisation des panneaux. Dieu balise nos chemins !

Mais, contrairement au code de la route, Dieu voulait inscrire ses 10 paroles dans le cœur et l’esprit de l’homme. Cela faisait partie intégrante du contrat de l’alliance :

« Mais voici l'alliance que je conclurai avec la maison d'Israël après ces jours-là, oracle de Yahvé. Je mettrai ma Loi au fond de leur être et je l'écrirai sur leur cœur. Alors je serai leur Dieu et eux seront mon peuple. » Jérémie 31:33 (version Bible de Jérusalem) Cette alliance a été étendue à toute la chrétienté(cf.Hébreux 8 :10 et 10 :16)

(Pourquoi une partie de la chrétienté a annulé le deuxième commandement, procédé à une modification du jour de repos, dédoublé le 10ème commandement ? Jugez vous-mêmes si la raison de la position politico-religieuse rapportée par les historiens, est en conformité avec la volonté divine ? cf. Jean 15 : 10)

     Le chanoine G. Basseville, curé de Saint-Paterne à Orléans a écrit : « La loi de Moïse resta la propriété exclusive des juifs jusqu’au jour où notre Seigneur Jésus-Christ l’adopta pour les chrétiens. Avec notre Seigneur, ce trésor, longtemps réservé à un seul peuple, va devenir le code de la morale chrétienne, le patrimoine du genre humain tout entier. » Dans « instructions pour les messes du dimanche », 6ème série, p.41


Conclusion :


L’arche de l’alliance est un concentré du plan du salut. Le symbolisme nous aide à percevoir la finalité du projet divin. En effet, le bâton d’Aaron, la manne, les deux tablettes, se trouvaient dans le coffre. Ils étaient le signe de l’action de la bonté de Dieu. Un Dieu qui veut faire alliance avec l’humain. Un Dieu qui rassure en montrant qu’il a le pouvoir, si l’humain le désire, de transformer un morceau de bois sec en branche vivante, épanouie comme une fleur, portant du fruit sous son action. Un Dieu qui pourvoit aux besoins essentiels de vie par une nourriture avant tout spirituelle. Un Dieu qui guide, par un balisage précis, le chemin de chacun(e).

Et surtout, au-dessus de tout cela, le propitiatoire indique que la grâce va au-delà des refus de l’homme, de ses égarements, de ses transgressions, de ses culpabilités… Le couvercle de la grâce donne à chacun(e) d’entre nous la joie de nous approcher de Dieu en toute assurance.

L’apôtre Paul nous révèle « le dessein éternel qu’il (Dieu) a mis à exécution par Jésus-Christ notre Seigneur, en qui nous avons, par la foi en lui, la liberté de nous approcher de Dieu avec confiance. » Ephésiens 3 :12 (c’est nous qui soulignons)

                                                                                   Jacques Eychenne

 

 

 

 

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