Les enfants de la promesse

 

Les enfants de la 

promesse

Galates 4

 

Introduction :

 

L’apôtre Paul va poursuivre son raisonnement pour ramener les Galates, un instant égarés (cf. Galates 3 : 1), à la raison. Après avoir démontré que le régime de la loi est avant tout un véhicule pédagogique pour les conduire à Christ, Paul va développer le point crucial qui consiste à affirmer que Christ a racheté les Galates de la condamnation de la loi. Si ces derniers prennent conscience qu’ils sont désormais de la descendance d’Abraham, il faut de même qu’ils réalisent qu’ils sont maintenant héritiers de la promesse. En recentrant le débat sur la promesse, l’apôtre les invite à prendre en compte les bénédictions fabuleuses de la grâce divine, celle qui libère et réjouit le cœur. Voyons comment Paul va s’y prendre pour conforter leur assurance dans l’héritage promis à Abraham et à ses descendants.

 

Développement :

 

Pour se faire comprendre, Paul utilise une comparaison. Celle d’un petit enfant (νήπιος  = un enfant, un petit enfant, un mineur, pas en âge, cf. Hébreux 5 : 13) qui n’a pas encore atteint l’âge de sa maturité pour prétendre à l’héritage. Il est soumis à des administrateurs et intendants, jusqu’au jour légal fixé par le Père. Dans l’attente de ce moment, la situation entre un fils d’esclave, et celle du fils du propriétaire, ne diffère en rien. L’enfant demeure sous la loi de ses tuteurs, bien qu’il soit potentiellement Seigneur (cf. κύριος) de tout (propriétaire de tout en puissance). Il ne le sera vraiment que le jour de sa majorité. L’homme qui vit sous la loi est symbolisé par cet enfant (cf. Galates 4 : 1-3)

 

L’apôtre explique que nous devons tous passer par cette étape. Elle fait partie du développement normal de l’enfant. L’obéissance fait partie de son apprentissage. « Mais, lorsque les temps ont été accomplis, Dieu a envoyé son Fils, né d’une femme, né sous la loi, afin qu'il rachetât ceux qui étaient sous la loi, afin que nous reçussions l'adoption. » Galates 4 : 4-5

 

Puis, l’apôtre opère une transition fondamentale, sorte de passage de l’ombre à la lumière. Il l’introduit par un mais, (δὲ = particule en grec expriment l’antithèse et en donnant l’explication),  et ensuite par lorsque… (ὅτε = conjonction de subordination qui introduit une proposition de temps= quand, lorsque)

Pourquoi cette petite explication de texte ?

Parce qu’elle introduit le fait historique majeur, capital : l’envoi du Fils de Dieu pour racheter le monde des humains.

C’est le moment charnière ou l’histoire prend une autre direction. Une porte s’ouvre, une autre se referme.

 

Désormais, le peuple de Dieu n’est plus un peuple choisi d’entre les nations, c’est un peuple issu de toutes les nations. Le dépôt de la loi, confié à Israël, a trouvé en Christ sa finalité. Paul reconnaît que les Juifs ont eu l’insigne honneur de transmettre le dépôt sacré confié à Moïse (cf. Romains 3 : 2), mais il attire l’attention de ses lecteurs sur un autre aspect encore plus important. Il précise ce clivage historique aux chrétiens de Rome :

« Mais maintenant, sans la loi est manifestée la justice de Dieu, à laquelle rendent témoignage la loi et les prophètes, justice de Dieu par la foi en Jésus-Christ pour tous ceux qui croient. Il n'y a point de distinction. Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu ; et ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ. » Rom 3 : 21-24 .

Pour revenir à notre texte et prolonger la comparaison, disons que l’enfant spirituel a grandi, il est parvenu à maturité, il n’est plus dans une position comparable à celle de l’esclave. C’est pourquoi

« tu n'es plus esclave, mais fils; et si tu es fils, tu es aussi héritier par la grâce de Dieu. Autrefois, ne connaissant pas Dieu, vous serviez des dieux qui ne le sont pas de leur nature ; mais à présent que vous avez connu Dieu, ou plutôt que vous avez été connus de Dieu, comment retournez-vous à ces faibles et pauvres rudiments, auxquels de nouveau vous voulez vous asservir encore ? » Galates 4 : 7-9 

Pour que l’objectif pédagogique de la loi soit atteint, il fallait que l’envoyé de Dieu naisse sous la loi, subisse la condamnation à notre place, et nous libère du poids de nos culpabilités. Si les Galates se remettent sous des prescriptions légalistes, ils rendent vain le sacrifice du Christ. Paul leur dit en deux mots : « Ne revenez pas en arrière ! ». Les pauvres rudiments à valeur symbolique concernaient les observances de jours fériés (cf. des sabbats cérémoniels qui n’ont rien à voir avec le sabbat hebdomadaire, ex. le jour de la fête des trompettes, ainsi que le jour des expiations, n’était pas en rapport avec le sabbat mémorial de la création Lévitique 23 : 24, 32, 37-38), des mois (cf. en parallèle avec les nouvelles lunes, les néoménies), les temps (cf. temps de fête, les saisons),  les années (cf. les années saintes, voire aussi transcription d’Alfred Kuen, dans Parole vivante galates 4 : 10). Prophétiquement Osée avait déjà annoncé ce changement : « Je ferai cesser toute sa joie, ses fêtes, ses nouvelles lunes, ses sabbats et toutes ses solennités » Osée 2 : 13

Pour être historiquement juste, précisons que ces pratiques juives subissaient aussi l’influence de l’ascétisme païen. Elles se distançaient des prescriptions mosaïques (cf. L’épitre aux Colossiens p. 143, à propos de Colossiens 2 : 16, de Norbert Hugedé, éditions Labor et Fides, Genève avril 1968.).

 

L’apôtre est déçu de voir que les Galates n’ont pas compris son message (cf. Galates 4 : 11). Ils sont retournés à  l’observation des astres (repère du temps). Il est vrai que l’homme se rassure plus avec du concret, du visuel, des traditions, qu’avec une foi simple. La foi, comme avec Abraham, c’est la marche vers l’inconnu. On quitte le domaine des certitudes pour avancer, soutenu uniquement par la confiance. Ce type de relation a de tout temps déstabilisé les humains. En conséquence, ils se sont donnés maintes formes religieuses, liées dans les temps anciens à l’observation des astres. En s’adonnant à ces rites, à ces codes ancestraux (cf. celui d’Amourabi, bien avant le Sinaï), les humains ont cherché à se rassurer.

 

Tout en étant solidaire du désarroi des Galates (cf. Galates 4 : 12), Paul va expliquer pourquoi le rituel ou la loi n’a pas la capacité de conduire l’homme à la vraie Vie. Mais avant cela, nous retrouvons le côté paternaliste de Paul. Il persiste à encadrer sa démonstration dans un bain d’affect fraternel. Il rappelle aux Galates le contexte de leur première rencontre. Paul, suite à une maladie (des yeux pense-t-on), s’était arrêté chez eux, et c’est à cette occasion qu’il leur avait annoncé l’évangile. 

« Vous auriez pu être tentés de repousser ou de mépriser l’homme faible et infirme que j’étais. Mais vous ne m’avez témoigné ni dédain ni répugnance. Au contraire  vous m’avez accueilli comme si j’étais un ange de Dieu, oui, comme vous auriez accueilli Jésus-Christ en personne. » Transcription Alfred Kuen, parole vivante, éditions BLF, p. 436

« Où donc est l'expression de votre bonheur ? Car je vous atteste que, si cela eût été possible, vous vous seriez arraché les yeux pour me les donner. Suis-je devenu votre ennemi en vous disant la vérité ? » Gal 4:15-16

 

Paul ne comprend pas comment les Galates ont pu retourner à ces « pauvres rudiments du monde », après avoir connu la félicité de la présence de Dieu au travers de sa présentation de l’évangile. Son enseignement semble concrètement remis en question. Alors, au passage, il place quelques reproches : suis-je devenu votre ennemi ?  C’est bien d’avoir du zèle en ma présence, mais ce serait bien si vous pouviez en avoir aussi en mon absence (cf. Galates 4 : 16,18).

 

L’apôtre poursuit l’allégorie en se positionnant comme le père.

«  Mes petits enfants que, dans la douleur, j'enfante à nouveau, jusqu'à ce que Christ soit formé en vous. » Galates 4 : 19, (version TOB) « je voudrais être maintenant auprès de vous, et changer de langage, car je suis dans l'inquiétude à votre sujet. » Galates 4 : 20  

Ce passage confirme que l’apôtre est un homme sensible. Devant cette situation délicate, on comprend qu’il s’accommode mal de la distance ; il aurait tant voulu leur parler en face. Il aurait peut-être dit les choses différemment. Il aurait certainement mieux adapté son langage à la situation. C’est bien de l’avoir dit. Cela prouve que l’amour de l’apôtre pour ces Galates était empreint d’humilité. Si seulement nous pouvions adopter cette posture dans tous nos échanges !

 

Puis, l’apôtre revient au cœur du sujet. Il repart sur le symbolisme des deux enfants d’Abraham. Ils se rapportent aux deux alliances, l’ancienne et la nouvelle. Cela va permettre à Paul de faire le lien entre l’esclavage et la liberté, la loi et la grâce, l’enfant de la femme esclave Agar, et l’enfant de la femme libre Sara. Pour introduire le sujet, l’apôtre part d’une interpellation : « Dites-moi, vous qui voulez être sous la loi, n'écoutez-vous pas la loi? » Galates 4 : 21  (version Darby).

 

Notons le fait intéressant suivant. Paul ancre sa démonstration en citant les rouleaux des prophètes de l’Ancien Testament, comme pour montrer que ses affirmations s’enracinent dans l’histoire du peuple de Dieu, et qu’elles font partie d’un ensemble cohérent. Le Christ avait déjà montré la voie en s’appuyant sur la formule célèbre : « il est écrit ». A chaque fois que nous pouvons soutenir notre point de vue par l’Ecriture, nous sommes sur un terrain protégé. Revenons à l’interpellation de l’apôtre. Est-elle provocante ? Elle invite toutefois les Galates à revisiter l’histoire qu’ils semblent méconnaître. Veulent-ils être vraiment « sous la loi » (ὑπὸ νόμον), ou ont-ils un instant été perturbés par les gens de Jérusalem ? Difficile à préciser. Paul poursuit son enseignement par le raisonnement suivant. Si vous voulez être sous la loi, écoutez au moins ce que dit cette loi. Et que dit-elle cette loi ?

« Car il est écrit qu’Abraham eut deux fils, un de la femme esclave, et un de la femme libre. Mais celui de l'esclave naquit selon la chair, et celui de la femme libre naquit en vertu de la promesse. Ces choses sont allégoriques ; car ces femmes sont deux alliances. L'une du mont Sinaï, enfantant pour la servitude, c’est Agar, - car Agar, c'est le mont Sinaï en Arabie, - et elle correspond à la Jérusalem actuelle, qui est dans la servitude avec ses enfants. Mais la Jérusalem d'en haut est libre, c’est notre mère; car il est écrit: Réjouis-toi, stérile, toi qui n'enfantes point ! Éclate et pousse des cris, toi qui n'as pas éprouvé les douleurs de l'enfantement ! Car les enfants de la délaissée seront plus nombreux que les enfants de celle qui était mariée. Pour vous, frères, comme Isaac, vous êtes enfants de la promesse; et de même qu'alors celui qui était né selon la chair persécutait celui qui était né selon l'Esprit, ainsi en est-il encore maintenant. Mais que dit l'Écriture ? Chasse l'esclave et son fils, car le fils de l'esclave n'héritera pas avec le fils de la femme libre. C'est pourquoi, frères, nous ne sommes pas enfants de l'esclave, mais de la femme libre. » Galates 4 : 22-31

 

Rappel des faits historiques :

 

Adonaï-Yahvé parle à Abraham dans une vision. Abram répond qu’il s’en va sans enfant, Dieu ne lui ayant pas donné de postérité (cf. Genèse 15 : 1,2). « Alors cette parole de Yahvé lui fut adressée : Celui-là ne sera pas ton héritier (Eliezer de Damas membre de sa famille), mais bien quelqu'un issu de ton sang. Il le conduisit dehors et dit : Lève les yeux au ciel et dénombre les étoiles si tu peux les dénombrer et il lui dit : Telle sera ta postérité. Abram crut en Yahvé, qui le lui compta comme justice. » Genèse 15:4-6 (version Bible de Jérusalem). Lorsque Abram  reçoit cette parole,  il n’a guère plus de 75 ans. Plus de 10 ans plus tard, Saraï sa femme, voyant qu’elle demeure toujours stérile, demande à Abraham de lui donner une descendance par le biais de sa servante égyptienne Agar. Lorsque Ismaël naît Abram a 86 ans (cf. Genèse 16 : 16) Dieu continue à parler d’une postérité à Abram. Il fit alliance avec lui. Abram devient Abraham, ce qui signifie Père d’une multitude (cf. Genèse 17 : 1-5). Pourtant, Abraham ne voit toujours pas l’accomplissement de la promesse de  Yahvé. Abraham a maintenant 99 ans. Dieu lui parle et réitère sa promesse. Il lui annonce qu’il aura un fils l’an prochain.

« Abraham tomba la face contre terre, et il se mit à rire car il se disait en lui-même : Un fils naîtra-t-il à un homme de cent ans, et Sara qui a quatre-vingt-dix ans va-t-elle enfanter ? Abraham dit à Dieu : Oh ! Qu’Ismaël vive devant ta face ! Mais Dieu reprit : Non, mais ta femme Sara te donnera un fils, tu l'appelleras Isaac, j'établirai mon alliance avec lui, comme une alliance perpétuelle, pour être son Dieu et celui de sa race après lui. En faveur d’Ismaël aussi, je t'ai entendu : je le bénis, je le rendrai fécond, je le ferai croître extrêmement, il engendrera douze princes et je ferai de lui une grande nation. Mais mon alliance, je l'établirai avec Isaac, que va t'enfanter Sara, l'an prochain à cette saison. » Genèse 17:17-21 (version Bible de Jérusalem).

Voilà le cours résumé de l’histoire à laquelle Paul fait référence. Retenons pour notre édification le poids de l’usure du temps sur la foi dans les promesses de Dieu. L’impatience de Sara n’est-elle aussi la nôtre ? N’est- il pas tentant d’agir par dépit ? De trouver une solution par nous-mêmes ? Le temps peut être un ennemi redoutable (cf. les dix vierges Matthieu 25 : 1-13)

 

Sur le plan historique, l’apôtre va retenir ce qui est utile à sa démonstration. Il établit une nette différence entre les deux fils, Isaac et Ismaël.

Le premier, Ismaël,  a été conçu naturellement, le deuxième est né grâce à une intervention divine, car elle était stérile (cf. Genèse 21 : 1). L’un est enfant de l’esclave Agar, l’autre est l’enfant de Sara selon la promesse de Dieu. L’un a été conçu sur la demande de Sara, la femme légitime (Abraham et Agar ont satisfait son désir), l’autre est l’enfant de la femme légitime libre. L’un est l’enfant de la chair, l’autre de l’Esprit. Préfiguration de la naissance miraculeuse de Jésus-Christ.  (Rappel : La promesse a été faite au Patriarche ; une postérité avec Sara lui était promise. Après des années d’attente, c’est par ordre de Sara qu’Agar a eu un fils avec Abraham). Ismaël est donc un enfant par défaut : défaut d’Abraham d’avoir manqué de foi dans la promesse de Dieu. Isaac, l’enfant de la promesse, est le seul véritable héritier. Isaac restera près de son père, Ismaël sera chassé loin de la maison familiale (Mais Dieu veillera aussi sur lui, et lui donnera une nombreuse descendance (cf. Genèse 21 : 13-21).

 

Ces deux lignées illustrent deux alliances.

 

Il est difficile d’imaginer que cette histoire se soit déroulée sans que Dieu l’utilise à dessein. Indirectement l’usure de la foi d’Abraham à travers le temps a permis d’inscrire dans l’histoire la notion des deux alliances.

Paul se saisit de ces repères historiques pour souligner l’incompatibilité de cohabitation de la maîtresse et de sa servante (cf. Genèse 21 : 9-10). Agar symbolise le Sinaï, l’obéissance à la loi de Moïse. Paul établit une correspondance avec les frères qui viennent de Jérusalem. Eux aussi sont restés sous le joug de la loi (ces frères veulent imposer la circoncision comme moyen de salut, actes 15 : 1 ; Galates 5 : 2-3).  

 

De même que la cohabitation entre les deux femmes et les deux fils était devenue impossible, car l’arrogante Agar méprisait sa maîtresse, de même Paul fait comprendre aux Galates qu’on ne peut concilier ce qui vient de la chair et ce qui vient de l’ Esprit. Autrement dit, le salut par les œuvres d’obéissance à la loi est incompatible avec la grâce d’un salut gratuit en Jésus-Christ. Ce salut est à saisir par le moyen de la foi. Paul semble dire en résumé : quel est le personnage le plus important Moïse ou Jésus-Christ ?

Et de même qu’il a fallu chasser la servante Agar et son fils Ismaël, de même Paul insiste pour qu’il y ait une nette démarcation entre le registre de la loi et celui de la grâce. Les enfants de la promesse de la lignée d’Abraham ne peuvent être que les enfants de la femme libre.

L’allégorie des deux alliances avait pour objectif de découvrir le sens profond de l’enseignement de l’histoire, sens caché sous la réalité historique.

 

Conclusion :

 

L’histoire biblique révèle les merveilleuses promesses de Dieu pour notre humanité.

Nous sommes réconfortés par le fait que Dieu a la maîtrise de l’histoire des hommes. Ses promesses se réaliseront aussi certainement que Sara a donné naissance à Isaac, le fils héritier. Avec Abraham, plusieurs siècles avant la transmission de la loi, Dieu a fait la promesse que le salut gratuit qu’il préparait concernerait toutes les nations sans exception. A travers Isaac, c’est chaque croyant qui devient héritier. C’est un salut universel, sans frontières, sans distinction de races. Cet évangile sans frontières, dont Paul est porteur, annonce (à qui veut l’accueillir dans son cœur) que nous sommes tous appelés à être des enfants de la promesse.

L’apôtre veut inviter les Galates à sortir de l’esclavage à la loi pour vivre une glorieuse liberté en Christ (cf. Romains 8 :19-21) L’obéissance aux lois de Moïse ne devait pas conduire à un esclavage, ni même à un confinement géographique dans un pays précis, mais à une étape supérieure, celle de la confiance dans une marche libre vers une terre promise spirituelle. La Jérusalem historique étant sous la loi, Paul invite les Galates à entrer dans la Jérusalem céleste, symbole du royaume de Dieu à venir (lire Hébreux 11 : 12-16 ; Apocalypse 21 : 1-5)

Prenons à notre tour acte de ce fait historique sans égal : Nous sommes enfants de la promesse si nous acceptons dans notre cœur le salut gratuit en Jésus-Christ, notre Sauveur.

                                                                                             

                                                                                Jacques Eychenne

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