Commentaires de J.Kamdem sur Baalam

 Eclairer l’intelligence de la duplicité ou de la ruse.

 

  Finalités et société dans les Ecritures: 


A M. Eychenne, pour partager la démarche de recherche, contribuer  à l’enrichir, faire converger nos actions par nos engagements dans la société et même imaginer le type de formation des futurs maîtres dans l’Education Nationale.

 Documentation pour « savoir d’où nous venons afin de savoir qui nous sommes » :   nécessité, pour les générations actuelles et futures, de pratiquer une relecture critique des formes de l’écriture et des événements historiques qui les ont fait éclore, afin de voir les idéologies et intentions qui les traversent.

Pédagogie progressive greco-latine construite sur le scénario « dupeur-dupé » avec des écritures de genres différents complémentaires :

MYHTES PREMIERS (forme poétique de l’écriture N°1, très abstraite), extrait des réécritures de Luc Ferry : des dieux ordonnant l’univers pour leur puissance exclusive et refusant l’émancipation des hommes, des hommes sacrifiés luttant par la ruse contre l’implacable destin décidé « en haut lieu ».

EPOPEES PREMIERES (forme poétique de l’écriture N°2, très concrète), extraits d’Homère : Illiade et Odyssée et Virgile : Enéide, des hommes s’accaparant la terre en rusant contre les égoïsmes et les forces de la nature personnifiée, ou s’associant pour partager les ressources naturelles.

PHILOSOPHIE PREMIERE : PLATON
 L’apologue (forme poétique de l’écriture N°3 : illustration concrète ou vivante de la pensée) de Gygès (un autre Balaam) :
Problématique : Qu’as-tu vu et entendu ? Qu’as-tu fait de ce que tu as vu et entendu ? Quels en ont été les divers effets, toutes les conséquences ?...
 Le mythe (forme abstraite de la pensée) de la Caverne :
Problématique : Que vois-tu ? Sais-tu voir ? Que comprends-tu dans ce que tu vois ? Que sais-tu ? Comment le sais-tu ? Veux-tu connaître la vérité ? Que préfères-tu entendre ?...

Pédagogie des héros mythiques de la Bible, reprenant la réflexion grecque de la dualité Eros-Thanatos :
Problématique : Que doit-on vaincre ou surpasser en soi et autour de soi (potentialités de la liberté) ? Que ne peut-on ni ignorer ni changer (limites de la nature humaine, limites à la liberté) ?

 CAÏN – Genèse 4 - Autre Balaam, un fratricide qui se substitue à l’élu, par jalousie et pour rester seul en compétition en vue de sa propre gloire ; avec le mystère de l’élection divine comme nouvelle forme du destin, par rapport au destin antique de la malédiction et du châtiment des dieux jaloux, mais dans la conformité des attitudes des croyants-pratiquants : celui qui accomplit les rituels comme les pharisiens afin d’être vu, celui qui les accomplit dans la simplicité de cœur d’une foi sincère sans souci du qu’en dira-t-on, celui qui en comprend vraiment la profondeur donc les obligations induites.

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 ABRAHAM et ISAAC  - Genèse 22 – Pas de Balaam ni de Balak, mais un homme qui accepte d’être mis à l’épreuve dans sa foi ; donc seul devant l’alternative du choix de la mort ou de la vie, une position ferme dans laquelle s’engager – « que votre oui soit oui », pas un « oui mais » ni un « oui sauf si » - mais une foi réfléchie, un esprit critique.

 JACOB - Genèse 27 à 31 - Ni un Balaam ni un Balak, donc tout humain conscient de l’injustice que représente une religion archaïque fondée sur une idéologie de classes, se substituant à l’élu (Esaü) qui représente cette idéologie aristocratique, mais sans lui faire violence, un Jacob qui lutte contre Dieu - ou son ange comme l’a peint Delacroix - pour affronter les obstacles à son désir de manifester qu’il est lui aussi aimé de Dieu, en découvrant ainsi sa liberté en même temps que sa solitude pour exister parmi les tenants d’une croyance aliénante mais pas d’une foi vivifiante - différence importante entre ces deux notions à faire comprendre -.

 JOSEPH - Genèse 37 et 39 à 42 – Contraire de Balaam, vrai prophète, homme de foi et agissant conformément à sa foi, au prix du bannissement ou de l’exil.

* Avec en plus une problématique intéressante sur l’écologie dans le développement durable, par ce conflit entre des frères éleveur-berger et cultivateur-récolteur ou chasseur (Abel, Caïn, Esaü) et gardien domestique (Jacob) : comment gérer les ressources de la planète ? Comment multiplier les ressources de la planète ? Ce monde ancien des éleveurs-cultivateurs-chasseurs  peut-il continuer comme il a commencé ? Les humains sans emplois à l’extérieur sont-ils utiles à la société et à la préservation de la planète ? … sans oublier Adam et Eve, et Noé … Donc relecture des mythes de la création du monde (et de l’homme dans ce monde), en face du monde techno-scientifique.

 LES DISCIPLES DU CHRIST : Pentecôte, expérience spirituelle rapportée par ceux qui vont être investis de la mission de témoigner : réunis en Son nom, ils reçoivent La Grâce du Don des langues, c'est-à-dire de savoir communiquer selon des registres et avec des mots et des outils appropriés, mais pas avec le même code standard pour tout le monde, ni un langage non contextualisé ni déconnecté du vécu des gens, ni un discours d’orateurs soucieux de puissance, car il s’agit d’incarner les idées utiles parmi les peuples de la terre, ou de matérialiser les reflets des Idées – solutions entrevues dans la Caverne initiatique de Platon.

Autres apologues : LES FABLES

 Balam et de Balak – La Bible : Nombres 21 à 25 - Deux hommes à ne pas séparer, parce qu’il ne peut exister de tenté sans tentateur. Deux homme qui n’ont rien compris à la foi, qui adoptent maladroitement la posture recommandée par leur tradition respectives, sans en comprendre les exigences dans le quotidien de l’existence, sans contextualiser les absolus moraux du Bon, du Vrai, du Bien, donc dans la dérive idéologique majeure.

 Les grenouilles demandent un roi, La Fontaine. Vision prophétique du peuple instable, toujours insatisfait, oscillant entre deux régimes politiques opposés : la  monarchie de droit divin et la tyrannie, seules formes politiques connues au XVIIème siècle, la monarchie éclairée venant d’Europe, au XVIIIème. Mouvement révolutionnaire : préfiguration de l’erreur qui a consisté à exécuter Louis XVI pourtant ouvert aux réformes, avec le régime de terreur pour nier la réalité de cette évolution potentielle. Une révolution tombée dans l’idéologie politique, elle aussi. Visée : faire prendre conscience chez les gouvernés de leur manque d’esprit civique et d’engagement politique.

Pédagogie des événements historiques, « scandales » ou « affaires » Dreyfus, Calas et Sirven, Jean Moulin… autres dénoncées par Greenpeace… et quelques unes liées aux abus de pouvoir (raisons d’Etat et trahison de secrets d’Etat, complicité avec des nazis ou des milices fascistes, détournement de bien publics, emplois fictifs, et autres formes de corruption… Lire Eva Joly).                  
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Objectif commun : obstacles et conditions pour refonder des relations durables dans la société, et à l’Ecole républicaine laïque.

Piste littéraire et citoyenne :
Interaction entre les citoyens et la politique. Sens et orientation de l’action politique en raison de sa finalité sociale : le combat contre le « mal civique » (lois du silence et délation, intrigues de couloir, abus de pouvoir par népotisme et cooptation qui se substituent à l’évaluation et à la validation de compétences…).

Problématique :
Comment un citoyen peut-il accéder à une vérité ? Vérité et réalité, sont-elles de même nature et ont-elles les mêmes effets dans la société ? Vaut-il la peine de se mobiliser pour une vérité ; la cause à défendre peut-elle, doit-elle être une vérité ?
Les syndicalistes actuels défendent-il une vérité ou luttent-ils contre une réalité ? Associent-ils dans leur combat contre une injustice professionnelle la défense d’une vérité sociale plus générale ? Où se situe la différence entre ces deux objectifs dans la lutte légitime et nécessaire ? Quel comportement digne suppose le dévoilement d’une réalité injuste et la découverte d’une vérité jusqu’ici niée, rejetée ou transgressée ?  L’engagement politique doit-il se faire en direction d’une réalité, d’une vérité ou bien d’une mise en synergie d’une réalité et des vérités laïque et religieuse complémentaires qui transcendent la réalité ?
Quelles sont donc les vérités à placer comme fondement de toute action citoyenne, au service de la société (au sens étroit puis élargi et contemporain de ce terme) ? Quelles  valeurs universelles subsistent derrière ces vérités ?
Comment transmettre ces valeurs entre les générations dans la société ?

Objets d’étude :

Genres : récits fondateurs gréco-latins et judéo-chrétiens (mythes et apologues).

Registre : les formes de la critique depuis l’Antiquité gréco-latine jusqu’à nos jours ; le scénario humoristique du « dupeur-dupé », avec son renversement  de situation ou coup de théâtre, sa typologie des personnages par les rôles et masques qui correspondent.

Rhétorique, figures du discours, art d’écrire et de dire : la répétition et l’accumulation, l’invective (malédiction), le paradoxe, la polysémie et le double langage.

Statut du lecteur : un apprenti « chevalier » pour devenir un « preux » citoyen informé (au courant), averti (ayant subi des revers ou peut-être des sanctions) et armé (équipé techniquement ET spirituellement).

Statuts d’auteur : anonymat, témoin légendaire, témoin historique, spectateur engagé.

Enjeu de l’écriture : l’apologue et le mythe, outils de la raison et voie de la sagesse.

 


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Le cas (ou l’affaire) Balaam.

Les questions soulevées par le récit de Balaam sont bien les suivantes
1) Que font Balaam et Balak ? Que fait Dieu ? Comment fonctionne ce « triangle relationnel » (notion didactique : élève – maître – savoir et connaissance) ? Pourquoi ces deux hommes pensent-il pouvoir se passer de la référence à Dieu (langage du croyant) ou à toute transcendance (notion philosophique qui fonde la singularité de la personne dans les manifestations de son altérité) ?
2) Pourquoi Balak répète-t-il la même demande ? Pourquoi Balaam répète-t-il la même stratégie ? Pourquoi Dieu répète-t-il la même réponse ? (l’erreur des hommes et la patience de Dieu ou la permanence de la transcendance, c'est-à-dire la conscience  gravée au coeur de l’intelligence humaine).
3) Pourquoi Dieu répète-il la même réponse ? Que cherche-t-il à faire émerger chez Balaam ? Veut-il décourager Balaam dans sa vocation de voyant -  prophète ?  Veut-il plutôt que Balaam exerce son ministère d’homme de foi (religieuse ou/et civique) autrement ?

Donc les pistes de recherche peuvent se greffer aussi bien sur Balak que sur Balaam  ou même sur Dieu, et aboutir à trois enseignements clarifiant trois types de formations complémentaires des citoyens, en vue de remettre chacun à sa place et de la sorte marquer les formes solidaires dans les degrés de l’autorité :
1) Enseignement pour les Balak, c'est-à-dire les citoyens lambda, lycéens s’apprêtant à faire des choix d’avenir, les adultes subordonnés dans la hiérarchie professionnelle ou politique d’un gouvernement.
2) Enseignement pour les Balam, c'est-à-dire les lycéens citoyens virtuels qui se demandent pourquoi la politique les concerne et donc comment ils peuvent s’y engager,  adulte actifs engagés dans des postes de responsabilité à des degrés divers, mais dans une équipe, autour d’un projet de société et d’un chef de projet d’entreprise économique, d’Etat, ou d’Etablissement scolaire ou universitaire. 
3) Enseignement pour les « élus par scrutin », les « nommés après recrutement »,  et les « futures élites dirigeantes » dans les « Grandes écoles » de la République, leur formation sur les valeurs morales liées au service, à une idée humaniste du management, et aux finalités de l’action de l’homme dans son environnement et dans les Institutions et leurs diverses administrations, donc par leurs devoirs avant même leurs droits, et un mode de recrutement nouveau, à définir et mettre en place.

La problématique liée à  Balaam (pour dégager le point de vue 1) peut aussi s’exprimer ainsi :
1) Pourquoi Balaam (référent politique religieux) ne répond-il pas une fois pour toute donc avec fermeté à Balak ? Pourquoi tergiverse-t-il  ou pourquoi  remet-il à plus tard sa décision ferme ? Est-ce par lâcheté, pour trouver des appuis parmi son peuple, ses subordonnés, afin qu’ils le disculpent en se référent à une proposition de groupe ? Mais quelles personnes risque-t-il alors de choisir pour constituer ce groupe (exemple : la « commission pédagogie ») ? Est-ce par manque de conviction ? Est-ce tout simplement pour ne pas prendre le risque de ternir l’image de la fonction qu’il occupe ? …
2) Pourquoi Balaam accomplit-il le rituel ancien de l’offrande sur l’autel, pour consulter Dieu, en y invitant les demandeurs de sacrifices humains (maudire le peuple d’Israël) ? Faut-il y lire la  dénonciation d’un syncrétisme religieux inacceptable ? Faut-il y lire l’espoir que sa bonne volonté rendra son adversaire enfin compréhensif et prêt à renoncer à son plan ? Quelle a été son erreur, c'est-à-dire son illusion platonicienne ? …
3) Que révèlent ces pratiques d’offrande à Dieu pour obtenir un avis qui est chaque fois la confirmation de ce qu’il savait déjà ? (Il n’y a pire sourd que celui qui ne veut pas entendre. Que celui qui a des oreilles entende... la loi d’amour universelle de Dieu pour toutes les créatures – Il n’est pas à l’ordre du jour du projet divin de trier les humains du temps de leur existence sur la terre, ni du ressort d’un « chef » ou d’un « supérieur » de déclarer quels humains méritent cet amour et lesquels ne le méritent pas, ni de conclure sur ce faux-critère quelles personnes doivent être écartées et détruites ou valorisées et promues). Quelle différence de nature peut être soulignée entre les vérités exprimées par ces deux verbes : « savoir » la volonté de Dieu et la « connaître » ? A quel comportement moral envers nos semblables et collaborateurs nous conduit l’erreur de Balaam ? …

Message [1] à entendre dans la fable : Balaam, faux-prophète, perroquet de la loi,  porte le point de vue du faible parce qu’il se laisse manœuvrer, influencer ou dominer par des pressions extérieures à sa conscience propre dont il étouffe la voix. Il  tombera à son tour comme il a fait tomber ses  victimes, en les sacrifiant, car « celui qui a inconsidérément frappé au nom du Glaive (comme les Croisés) périra par le Glaive », sera un jour châtié par Dieu en raison de sa grande responsabilité non assumée, car le temps donné pour comprendre dans la patience de Dieu au cours d’une vie n’est pas infini. Il lui reste deux solutions : réparer,  se racheter, en aura-t-il le temps, en verra-t-il les moyens ? …          

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La problématique liée à Balak (pour dégager le point de vue 2) peut s’exprimer ainsi :
1) Pourquoi Balak revient-il sans cesse à la charge ? Quels sentiments s’expriment dans sa demande violente ? Pour quelles raisons a-t-il choisi cette cible, le peuple d’Israël ? Que représente donc ce peuple dans la Bible et pour Balak lui-même ?
2) Pourquoi, ne partageant pas la foi du prophète Balaam, cherche-t-il son appui en vue de réaliser son désir ? Quel « maître » sert-il ?
3) Comment  ces pratiques « de couloir » et d’intimidation voilent à peine ses ambitions et font naître l’illumination du lecteur : obtenir le droit de détruire une communauté et être autorisé politiquement à utiliser la terreur psychologique ou harcèlement moral pour parvenir à ses fins, donc des méthodes  fascistes.
4) Quelle a été l’illumination platonicienne qui a conduit Balak à choisir la voie obscure, semblable à celle du Gygès platonicien ?  Et comment nommer cette voie obscure ? Quelle différence de degré doit être marquée entre une « vision » et une « certitude », entre une « rumeur » et une « vérité » ? A quel type de comportement moral nous conduit l’erreur de Balak ? …
Message [2] à entendre dans la fable : Balak, brutal et pervers,  porte le point du vue du rusé, il est dangereux car sournois mais pas fort puisqu’il ressent le besoin d’avoir recours à des moyens douteux, malhonnêtes (impressionner, intimider, pour influencer) et qu’il n’affronte pas directement à visage découvert ceux qu’il considère comme des ennemis à vaincre. Son vocabulaire prouve qu’il a des croyances non religieuses : il invoque la puissance du mal (maudire), a recours à des pensées magiques probablement inscrites dans son subconscient et qu’il ne croit pas que Dieu puisse protéger ses fidèles, ceux qu’il prend justement  pour cible. Il utilise son intelligence à nuire à ceux qui ne sont pas de son camp d’agressifs endurcis, réactionnaires pleins de haine et sans scrupule. Il a mentalement « passé un pacte avec le diable », c'est-à-dire qu’il consacre sa vie à séduire et se détourne d’une vie tolérante et active envers autrui, droite et fraternelle envers chacun. Il divise (c’est le signe du mal agissant) discrimine des catégories sociales, des collègues, agit de façon discrétionnaire pour faire aboutir son idéologie, pour cela  il ne voit que la solution de régler ses comptes avec les Institutions et tous ceux qui agissent en faveur de ces Institutions, donc il est « le ver dans le fruit » profiteur de la chair de « la pomme » donc pas une Eve curieuse ni un Adam naïf mais un vrai Dracula. Il est « le termite qui ronge l’arbre » sous lequel il s’abrite pourtant, parce qu’il a choisi des stratégies de « sabotage ». Sera-t-il mis en demeure d’arrêter ses intrigues et de rendre des comptes ? …

La problématique liée à Dieu (pour dégager le point de vue 3) peut s’exprimer dans ces conséquences et ce prolongement de la réflexion  :
1) Finalement avec Balaam et Balak, nous débouchons sur la question des relations humaines au coeur même du pouvoir : comment Ballam l’illusionné et Balak l’illuminé peuvent-ils constituer une équipe soudée efficace en vue des objectifs officiellement annoncés ? A quelle condition l’équipe étrange d’un illusionné peureux ou satisfait de l’obscurité et d’un illuminé ayant opté pour l’ombre épaisse, pourraient-ils agir en direction de la société, c'est-à-dire du « bien commun » , et non plus pour détruire le système existant derrière l’autorité sensée le faire correctement fonctionner ?
2) Sur quels critères mesurer dans les équipes - dirigeantes ou subordonnées - l’équilibre entre l’Esprit et l’Intelligence déjà entrevu et recherché à la Renaissance (XIVème siècle) puis tentée avec « l’honnête homme » au XVIIème siècle faisant de l’humain un savant séparé de l’esprit transcendant, puis au XVIIIème en ne prenant dans l’esprit que sa rationalité avec porte ouverte sur l’hédonisme du libertinage qui ne fut que l’asservissement d’autrui à ses propres vices ?
3) Alors sur quels critères sélectionner les projets proposés pour agir dans les Institutions et la société, piloter ces projets mis en œuvre puis les évaluer ?
4) Comment replacer les enseignements universitaires dans leurs dimensions humanistes ? Comment faire évoluer les épreuves des concours de recrutements des maîtres dans cette voie ? Quels types d’oraux mettre en pratique dans les jurys ? A qui confier ces deux missions complémentaires de formation des opérateurs-acteurs sur le terrain social et celui des mentalités afin de faire évoluer l’esprit des personnels vers le sens du service à rendre pour réaliser la paix sociale ?...                

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